Julia Kerninon

Julia Kerninon
Née en 1987 à Nantes, Julia Kerninon a été reconnue dès son premier roman, Buvard, qui a obtenu de nombreux prix dont le choix des lecteurs québécois et français du Festival du premier roman de Chambéry,
le Prix Françoise-Sagan,
Prix Edmée de-la-Rochefoucauld,
le Prix Vauban

et le Prix René-Fallet.
Son deuxième, Le dernier amour d’Attila Kiss a, entres autres, reçu le Prix de La Closerie des Lilas et le Prix de la page 112.
Elle est aussi l’auteure d’un récit autobiographique, Une activité respectable.

Liv Maria
Julia Kerninon donne vie à une héroïne d’aujourd’hui.
Une femme libre, secrète, fière, au destin modelé par un premier amour incandescent. Ils sont loin de chez eux, ils sont seuls. C’est d’abord ça qui les a rapprochés, l’adolescente déracinée et le père de famille exilé le temps d’un été, à Berlin.
À 17 ans, Liv Maria apprend tout de ce premier amour.
Le plaisir des corps, l’intensité des échanges.
Lorsqu’il retourne chez lui, en Irlande, elle lui envoie de nombreuses lettres. En vain. Fergus ne répond pas.
Un an plus tard, ses parents meurent dans un accident de voiture. N’ayant plus d’attaches, Liv Maria part vivre en Amérique latine sur un coup de tête.
Quelques années durant lesquelles elle se construit en femme libre. Jusqu’à la rencontre avec Flynn, un homme terrien, solide, avec qui elle se marie rapidement.
Flynn est originaire d’Irlande, lui aussi, et le jeune couple choisit de s’y installer. Deux enfants naissent. Pendant des années, la vie de famille se déroule, en apparence heureuse. Mais Liv Maria est une femme insaisissable, toujours à la recherche d’elle-même, tourmentée par un secret inavouable.

Julia Kerninon dans la presse

« Voilà plusieurs années que Julia Kerninon creuse son sillon,
et on l’aime comme au premier jour. »

⎯ Marine Landrot, Télérama

 

« Julia Kerninon a tout pour devenir une icône. »

⎯ Nathalie Azoulai, Marianne

 

« Elle s’est déjà imposée parmi les plumes françaises prometteuses. »

⎯ Jade Laurent, L’Express

 

« Julia Kerninon a un talent fou ! »

⎯ Jeanne de Ménibus, ELLE