Après la libération de Nelson Mandela, elle est devenue correspondante pour les médias québécois.
Elle a dirigé le département de radio-télé de l’Institut pour l’avancement du journalisme à Johannesburg et a formé quelques centaines de politiciens, dont Nelson Mandela, à apprivoiser les médias.
Elle a publié sept ouvrages traitant de l’Afrique du Sud, du continent africain, du racisme et de la justice sociale dans le monde.
Elle est mariée à Jay Naidoo, ministre au cabinet de Nelson Mandela, et considère ses trois enfants comme ses plus grands chefs d’œuvre.
Son mari, Louis, et son amie Sofia, ostéopathe et adepte de pratiques spirituelles, la convainquent d’essayer une plante médicinale ancestrale de l’Amazonie comme thérapie alternative. Marie-Jeanne participera avec son mari et leurs jumeaux de vingt ans à une cérémonie d’ayahuasca de trois jours offerte par des shamans du Brésil et d’Afrique du Sud, sur le territoire mohawk de Kanehsatake.
C’est alors qu’elle verra la lumière et qu’elle entreprendra de construire un pont entre les plantes médicinales autochtones et la médecine occidentale.