I
l faut vieillir. Éloigne-toi lentement, lentement, sans larmes ; n’oublie rien ! Et quand tu t’étendras en travers du vertigineux ruban ondulé, |
Dans ces instants de vie, esquisses, portraits, contes et nouvelles, l’auteure, déja sensible à la fuite du temps, s’efforce de rassembler ses souvenirs et de restaurer l’unité de sa vie.
Publiés deux ans après son divorce en 1906,
ils sont une métaphore de l’écrivain pour conquérir son indépendance dans et par l’écriture.
Avec un tableau expliquant l’établissement du recueil et une chronologie.